Quel-DJ est heureux de vous présenter sa playlist des tubes de l’été
Du rock à la dance, en passant par le jazz ou la chanson… Tous les courants musicaux regorgent de gros tubes de l’été. Des titres populaires qui ont pénétré l’oreille de toutes les générations pour ne jamais plus en sortir. Des sortes d’hymnes à la fête qui n’ont autre vocation que celle de divertir et qui ont façonné ou façonneront le succès de vos fêtes passées et à venir.
Vous l’aurez compris, notre intention ici est de vous proposer une sélection populaire, qui fera danser tous les publics, à l’exception peut être des puristes et autres adeptes de musique savantes…
Il ne nous reste plus qu’a vous souhaitez une bonne (re)découverte, en espérant que nous aurons pu vous assister de manière précieuse, et que le tube de cet été s’y trouve…
Dernière mise à jour: 05/10/23
De 1985 jusqu’en 1995, Magyd Cherfi et ses compères toulousains se sont forgés une solide réputation de rockeurs militants et politiquement engagés. La chanson « Le Bruit et l’Odeur » fut un premier objet de de controverses. La preuve, en somme, que leurs préoccupations sociales devenaient enfin audibles à l’échelle nationale. Mais en célébrant tout refus de la conformité sociale, à travers « Tomber la chemise », Zebda signera malgré lui le cheval de troie de son propre combat. L’energie festive du morceau, comme son refrain entêtant, seront davantage perçue comme une ode à la joie de vivre que comme celle d’une rebellion. Un tube de l’été, en somme, qui allait propulser le groupe parmi les plus prospères du moment tout en annihilant leur discours de fond. Jamais il ne s’en remettra réellement.
Le chanteur argentin Alan Duffy, alias King Africa, est un spécialiste de hits latino-dance très apprécié en Amérique du Sud. Cette reprise du groupe bolivien Azul Azul, lui a ouvert la voie vers une bien courte consécration européenne.
Véritable tube de l’été 2002, cette chansonnette a rythmé les boums avec son refrain chanté en yaourt espagnol. Pour la petite histoire, cette dernière raconte l’arrivée, dans une boite de nuit bondée, d’un rasta fan du « Rapper’s Delight » de Sugarhill Gang, . A sa vue, le DJ lance alors son morceau préféré. Les chanteuses reprennent ensemble le refrain avec une chorégraphie aussi forcée que les paroles …